Des acteurs de la chirurgie reconstructive. (DR)
Pour Tiken Jah Fakoly, les mutilations génitales féminines doivent disparaître. Et chaque femme a droit à une prise en charge digne et humaine. « Tant qu’il y aura des femmes mutilées, je continuerai de me battre à leurs côtés », a rassuré l’artiste qui a toujours montré son engagement en faveur des droits humains et contre les Mutilations génitales féminines (Mgf).
Soutenue par le Fonds Muskoka, l’Oms, le Programme national de santé mentale et plusieurs autres acteurs engagés, cette action est au cœur d’une campagne de chirurgie reconstructive gratuite allant du 7 au 11 avril 2025, vise à offrir des soins chirurgicaux spécialisés à une trentaine de patientes.
C’est l’occasion de renforcer les compétences des professionnels de santé venus du Togo, du Sénégal, du Bénin, de la Guinée, du Tchad et de la Côte d’Ivoire.
Une initiative qui s’inscrit dans la politique volontariste du gouvernement ivoirien, portée par le ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, pour la promotion des droits des femmes, notamment en matière de santé sexuelle et reproductive.
Lire l’article original ici.
