Ainsi, 300 plants composés de 100 plants dits « veuves pleureuses » pour l’ornement de l’artère principale du village et 200 pieds de tecks et melina ont été mis en terre sur près d’un hectare et demi sur le flanc des montagnes qui entourent le village.

Une opération de planting d’arbres initiée à cette édition. (Ph: Dr)
Il a également lancé un appel aux filles et fils du village de Sandougou-Soba afin de faire bloc autour de leur patrimoine culturel, tout en prenant l’engagement devant les parents de pérenniser ce festival. « Nous prenons l’engagement devant vous, chers parents, de faire du Festi-San, un événement majeur de notre pays et de faire de Sandougou-Soba une destination privilégiée », a insisté le commissaire général, Éric Gbê.
Le sous-préfet de Sandougou-Soba, Djekou Léonard et le député de Man sous-préfecture, Sia André ont encouragé les initiateurs de ce festival à continuer d’apporter la joie, l’amour et surtout le développement à la communauté à travers la culture.
Mais avant, Edmond Doua, enseignant-chercheur en communication politique à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, a invité les populations à la préservation de leur environnement afin de garantir la pérennité des ressources culturelles de la localité. « La pratique de nos rites et autres activités culturelles traditionnelles prennent leurs sources dans les bois ou forêts sacrées », dit-il.
Source : Sercom
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